Trois ans après “No Pain, No Gain”, Michael Bay adapte une nouvelle histoire vraie en revenant sur le cauchemar de soldats américains à Benghazi, en septembre 2012. Mais sans en faire un film patriotique, comme il l’explique à notre micro.

“13 Hours n’est pas pro-américain, car il y est question de 35 personnes abandonnées par les Etats-Unis” : les spectateurs qui accusent Michael Bay de patriotisme devraient changer d’avis avec ce nouvea long métrage, qui revient sur le calvaire des soldats chargés de protéger l’ambassade américaine de Benghazi (Libye), attaquée pendant une nuit entière, le 11 septembre 2012.

==> Un film tourné “dans un style plus brut”

Après Pearl Harbor et No Pain No Gain, le cinéaste s’offre une nouvelle histoire vraie sur grand écran, et des acteurs solides qui gagnent à être connus, de John Krasinski (The Office) à James Badge Dale (24 heures chrono), en passant par Pablo Schreiber (Orange is the New Black) et David Denman (également dans The Office). Des comédiens qui reviennent avec nous sur le film, en compagnie de trois des vrais soldats.

"13 Hours m’a donné encore plus de respect envers ceux qui protègent un pays"