Si son mari Guy Lagache a l’habitude de montrer régulièrement son visage à l’antenne de C8, Emilie Thérond est elle beaucoup plus discrète. Coup de projecteur sur mère de famille réalisatrice de documentaires.

Nazis français, nazis allemands, de la fuite à la traque. Voilà le thème du numéro d’Histoire interdite que présentera Guy Lagache ce soir, à 21 heures, sur C8. Alors que le grand public a appris à connaître le visage et la voix de ce journaliste de 51 ans au fil des années et de ses passages successifs dans différentes rédactions, telles que celle de M6, peu de gens savent qui est vraiment la femme qui partage son quotidien depuis maintenant quinze ans.

N’en déplaise à certaines des téléspectatrices de Guy Lagache, ce professionnel de l’information s’est marié il y a plus de dix ans à une certaines Emilie Thérond. Après s’être dit oui à l’été 2002, le couple donne quelques années plus tard naissance à ses deux enfants: Rose (13 ans) et Romy (bientôt 8 ans). Il faut dire qu’Emilie Thérond semblait presque destinée à finir ses jours dans les bras d’un journaliste. La mère de famille de 47 est en effet la fille d’un ancien rédacteur en chef et directeur de la rédaction de Paris-Match, et d’une rédactrice en chef du journal Le Républicain d’Uzès. Elle a donc le journalisme dans le sang depuis son plus jeune âge.

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Après avoir été élevée dans le Gard et avoir poursuivi des études d’Histoire, la jeune étudiante obtient sa première expérience professionnelle au sein de l’agence de presse Capa. Le hasard veut que son futur mari fréquente la même maison quasiment à la même période. Très vite, Emilie Thérond se passionne pour la réalisation. Elle fait alors initialement ses preuves à la télévision, réalisant des reportages pour différentes émissions telles que Sept à Huit ou Droit d’inventaire. En janvier 2016, elle sort enfin son tout premier documentaire au cinéma. Un film intitulé Mon maître d’école qui se penche sur la dernière année scolaire avant la retraite d’un professeur des écoles qu’elle a connu dans son propre village étant plus jeune. Un long métrage que le Parisien qualifiera d’ « émouvant et sensible ».

Crédits photos : BENAROCH/SIPA