Pour elle, Bombay (Inde) est la ville de tous les possibles. Celle où l’anonymat de la ville pourrait lui permettre de s’affranchir des barrières sociales. Mais à Bombay, une fois la danse finie, les castes reprennent leur droit. Cette femme venue de la campagne après la mort de son mari n’est pas comme les autres. Elle qui rêvait de devenir couturière ou styliste, se retrouve servante de par sa condition. Son maître, fils d’une riche famille, veut aller vivre à New York (Etats-Unis). Leur quête va les rapprocher.Tiré d’une histoire vraieUn film réalisé par Rohena Gera, une Indienne devenue Parisienne d’adoption. “En Inde, j’avais une nounou, j’étais très proche d’elle, mais j’avais conscience qu’elle ne faisait pas partie de la maison. Il y avait une ségrégation. C’est des années plus tard que j’ai trouvé comment aborder ce sujet sans faire de la femme, une victime qui travaille à la maison”, dit-elle.
Une romance sociale, sensible et pleine d’espoir. Déjà primé au Festival du film de Cabourg, le film devrait recevoir un bel accueil. Sa réalisatrice espère maintenant autre chose : qu’il soit diffusé en Inde. Ce n’est que comme ça “qu’il remplira sa mission”, précise-t-elle.Le JT

  • Grand Soir 3 du mercredi 26 décembre 2018 L’intégrale

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