Fantasque, drôle et franche, Arielle Dombasle n’est jamais avare de confidences déroutantes. Elle en a encore fait la démonstration en se livrant au Journal du Dimanche. La touche-à-tout du show business a notamment évoqué son rapport à la religion.

Élevée au Mexique pendant toute son enfance, Arielle Dombasle a baigné très tôt dans la foi catholique. “Mes dimanches d’enfant au Mexique étaient des jours intenses de fête, pleins de fleurs, de chants, de ferveur et d’innocence qui me remplissaient d’une joie absolue. Aujourd’hui, je ne vais plus à la messe“, a-t-elle confié au JDD. Et la star, qui vit désormais à Paris, d’expliquer la raison de ce boycott : “En France, le message christique se résume à des messes très courtes et désincarnées.” Ce n’est pas pour autant qu’elle ne prie plus. L’épouse du philosophe Bernard Henri-Lévy continue d’arpenter les églises mais lorsqu’elles sont vides et qu’elle peut en profiter – presque – seule. “Il y a le silence, ce temps en suspens, une architecture d’élévation, un mystère : je m’y sens comme chez moi“, jure-t-elle.

Cette croyance dans l’au-delà, Arielle Dombasle la cultive depuis toute petite et ainsi relaté une drôle d’expérience vécue devant Notre-Dame, à Paris. A 7 ans, elle effectue une visite dans la capitale avec ses gouvernantes, très pieuses, et se retrouve sur le parvis à genoux au milieu de la foule comme le font les plus fervents fidèles au Mexique. “Deux petites têtes blondes [une référence à son frère, la star ayant aussi une défunte soeur Anne Victoire de Lubersac, NDLR] les bras en croix encadrant leur nanny : cela a provoqué un drôle d’attroupement !“, s’est souvenue la star qui a aujourd’hui 61 ans. On imagine !

Thomas Montet

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