Encore apparue derrière à l’air au gala du MET, cette fois Madonna n’a pas caché son remonte-fesses. A 57 ans, victime ordinaire de la gravité, la Madone est pourtant de plus en plus souvent dénudée, mais rares sont les fois où elle ne triche pas.
En 1987, Madonna jetait sa petite culotte dans la foule, trois ans plus tard elle simulait l’onanisme sur scène et en 1992, en sous-vêtements de cuir mimait l’acte sexuel avec deux danseurs. En d’autres termes, la pudeur, la diva ne connaît pas. Et à vrai dire, jusqu’à il n’y a pas si longtemps, on n’en voulait pas vraiment à la Madone de mettre ses formes parfaites en valeur, on adorait son côté provocateur et on admirait sa plastique de danseuse qui défiait les lois de la pesanteur.
Seulement voilà, aussi diva soit-elle, à 57 ans, Madonna a beau passer des heures à transpirer dans les salles de yoga et arborer une silhouette plus que correcte, le temps passe et son fessier s’affaisse. Alors ses exhibitions gratuites et répétées, au lieu de choquer et d’interpeller, ont maintenant plutôt tendance à lasser et déranger.
Elle s’en moque. Madonna n’a pas l’intention d’aller se rhabiller, à la place, elle use de mille artifices pour redonner à son derrière le galbe et le volume d’une jeune première. Tout est bon: fronces bien placées, déhanchés à peine forcés, jupes éternellement raccourcies pour donner l’illusion de quelques centimètres de jambes en plus, talons —très—hauts, quincaillerie décorative rebondissant pesamment sur le séant de la star ou encore plus simplement remonte-fesses apparent, elle ose tout. Reste que son subterfuge favori est le plus inattendu: montrer ce que l’on veut cacher est la meilleure manière de détourner l’attention, d’autant plus efficace qu’elle le double le plus souvent d’un généreux décolleté.
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