Dimanche, Valérie Trierweiler s’est rendue au festival de Cannes pour assister à la projection du film documentaire de Claude Lanzmann, Le dernier des injustes. La première dame a voulu que sa présence reste discrète et n’a pas voulu monter les marches.

Normale, c’est en spectatrice normale que Valérie Trierweiler est venue au festival de Cannes. Dimanche, alors qu’elle venait tout juste de rentrer d’une mission humanitaire au Mali, la première dame est descendue sur la Croisette pour assister à la projection du film documentaire de Claude Lanzmann, Le dernier des injustes.

Et plutôt que de s’offrir une montée des marches qui n’aurait pas manqué d’être commentée, voire ciritquer, Valérie Trierweiler a préféré entrer dans le palais des festivals par l’entrée des artistes. Nettement moins glamour, mais tellement plus discrète. François Hollande n’a pas empêché sa ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, de participer à la cérémonie d’ouverture et à la montée des marches inaugurale, pour la projection du film Gatsby le magnifique. En revanche, il a dû glisser à sa compagne qu’il serait mal venu qu’elle aille s’afficher sur le tapis rouge cannois. Crise, rigueur et image obligent…

Valérier Trierweiler est venue à Cannes suite à l’invitation de Claude Lanzmann lui-même. Le réalisateur lui avait fait la proposition en février dernier, lorsqu’il avait été reçu à déjeuner par le couple présidentiel. La compagne du chef de l’Etat lui avait alors répondu par l’affirmative dans la mesure où son emploi du temps le lui permettrait. Gilles Jacob, comme il l’a rappelé sur Twitter, a répété l’invitation à Valérie Trierweiler qui a donc honoré la Croisette de sa présence. Selon Le Parisien, elle se serait décidée au dernier moment samedi, après être rentrée du Mali.